Belle et heureuse année 2024

Section d’une planche d’étage sculptée, dite « planche à rêves »
Toute l'équipe du musée des Confluences vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année

En 2024, place au rêve !

En décembre, le musée des Confluences célèbrera ses dix ans. Saviez-vous que dix années, c'est à peu près la durée passée à rêver au cours d'une vie ? S’il est au cœur de chacune de nos nuits et tient un rôle essentiel dans de nombreuses sociétés, le rêve n'en demeure pas moins un phénomène empreint de mystère, difficile à saisir. Il sera à l'honneur en octobre dans l'exposition Le temps d'un rêve.
Alors, en 2024, ouvrons la porte de nos rêves !

« Planche à rêves »

Dans les Grandes Maisons kanak, le plancher de la mezzanine était constitué de longues planches sculptées, ornées d’un visage à chaque extrémité et dont le décor était orienté vers le bas. Allongés sur celles-ci, les devins du clan entraient en communication, en rêve, avec les ancêtres.

 

Section d’une planche d’étage sculptée, dite « planche à rêves »
Fin 19e siècle
Nouvelle-Calédonie, culture Kanak


L'acquisition de cette œuvre a bénéficié du soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et de la société River Side Expert-Comptable, Lyon.

Galerie

Section d’une planche d’étage sculptée, dite « planche à rêves »
© musée des Confluences - Olivier Garcin
Section d’une planche d’étage sculptée, dite « planche à rêves »
© musée des Confluences - Olivier Garcin
Section d’une planche d’étage sculptée, dite « planche à rêves »
© musée des Confluences - Olivier Garcin